| Qui sommes nous ? |
L’école de la relève est une plateforme mise en place par REPAFER BURKINA dans le cadre de l’exécution du projet féministe canal 2 commandité par l’agence française du développement et equipop.
Groupe de travail entre les ambassadeurs en matière de risques à la santé sexuelle et reproductive
Nos objectifs
Elle vise à informer, former et transformer des jeunes ambassadeurs et ambassadrices sur le droit à la santé sexuelle et reproductive DSSR, les techniques d’animation et les compétences de vie courante afin de leurs permettre utiles à elle-même et à la la société.
Pus spécifiquement, l'école de la relève vise à promouvoir les droits des jeunes, à contribuer à promouvoir le leadership féminin et en fin à lutter contre les différentes formes de violences basées sur le genre
Yvette NIKIEMA élèves en classe de la première au lycée Départemental de Sourgbila
Approche
L’école de la relève s’inscrit d’une part dans une approche éducative par les pairs. Cette approche utilise la méthode participative et interactive et sert à susciter au sein des jeunes l’identification des problèmes eux même et à proposer des solutions endogènes de riposte. Puisque nous sommes conscients du rôle de la jeunesse dans le changement social, l’école de la relève constitue alors un cadre d’expression, d’échange et de partage d’expérience entre jeunes.
Les séances d'animation et de partage d'expérience entre les ambassadrices et leurs pairs dans les établissements scolaires
Outre la relève se construit dans une immersion de l’approche l’approche genre. C’est une approche qui prend en compte l’inclusion genre tout en luttant contre les différentes formes de violences basée sur le Genre. Elle permet aux jeunes de comprendre les terminologies liés aux genres et à renverser les logiques sociales liées à la domination masculine, à la violence symbolique et à la misogynie.
Ambassadors's team Traning
Module d'enseignement
Ainsià l’école de la relève, l’on découvre les modules de la santé sexuelle. Ainsi l’on assiste à l’éducation à la gestion hygiénique des menstrues (GHM) à l’éducation aux infections sexuellement transmissibles (IST) et à la grossesse non-désirée, et à l’avortement. Outre l’on aborde les compétences de vie courante. Ainsi une intention particulière est mise sur l’éducation à la lutte contre les stupéfiants qui sont dangereux pour la santé. C’est pourquoi le civisme et le leadership sont des nécessaire dans le renforcement des capacités en matière des compétences de vie courante.
Kaboré Sakinatou élève en classe de première D au lycée Départemental de Laye en calcul de ces cycles menstruelles
Pour permettre aux jeunes d’être efficient sur le terrain, des techniques d’animation sont enseignées. Les causeries éducatives, les sketchs théâtrale, du slam et conférences sont utilisées pour atteindre les objectifs.
Suivez nous sur
https://youtu.be/8tnDKzJyp2w
